0208 Très Chaud Sous La Couette, Et Petits Mots Sur LOreiller.
0208 Très chaud sous la couette, et petits mots sur loreiller.
Il doit être minuit lorsque nous nous retrouvons en position « tête-bêche », en train de nous offrir du plaisir lun lautre ; un plaisir qui se prolonge jusquà ce que Jérém se dégage de ce cercle de bonheur, pour sallonger sur le lit, les bras pliés, les mains croisées entre sa tête et loreiller, les aisselles finement poilues bien en vue, une étincelle bien coquine dans le regard.
« Tas envie de quoi ? » je lui demande.
« Refais-moi ce truc que tu m'as fait une fois
».
« Quel truc ? ».
« Ce truc
tu sais
».
« Je tai fait tellement de trucs
».
« Ce truc-là était vraiment dingue
».
« Vas-y, raconte
» je le cherche, alors que jai ma petite idée de ce « truc » dont il est question.
« Cette nuit-là
tu mas sucé, tu mas branlé, je ne sais combien de temps
tu me donnais envie de jouir, mais tu ne me laissais jamais venir
».
« Ah, oui, je vois
et alors, tavais kiffé ? ».
« Ah, putain, que oui
je crois que jamais je nai joui aussi fort de ma vie
tu ne peux même pas imaginer à quel point jai kiffé
».
« Alors, tu vas kiffer deux fois plus
».
Allongé sur le dos, la queue raide et insolente, une étincelle lubrique dans le regard qui mettrait le feu au soleil lui-même, Jérém attend que je vienne lui offrir une nouvelle fois ce plaisir dont il se souvient, et qui la marqué. Quest-ce que cest bon de lentendre dire à quel point il avait kiffé ce « truc », peut-être le premier truc que je lui avais proposé, et avec lequel je lavais surpris, après de nombreuses « révisions » où il avait mené le « jeu » de bout en bout ! Et quel bonheur de lentendre en redemander !
Un bonheur qui se mélange très vite à un petit sentiment d« inquiétude » : dans mon élan denthousiasme, je me suis peut-être un peu avancé ; jespère pouvoir être à la hauteur de son souvenir, de ses attentes.
De toute façon, je nai pas le choix : chose promise, chose due ; et aussi, queue tendue, envie soutenue. Bref, je ne peux attendre plus longtemps pour aller moccuper de mon bomâle brun.
Je saisis son manche raide du bout des doigts, je lenserre lentement, je le loge dans le creux de ma main. Ce simple, premier contact mapporte un intense bonheur tactile, composé de multiples sensations : puissance, douceur, chaleur, virilité. Sa queue remplit parfaitement ma main refermée, comme si lune était faite sur mesure pour lautre, et vice-versa ; comme si nos anatomies étaient prévues lune pour lautre.
Ma prise est assez relâchée, ma main coulisse lentement, elle excite autant quelle frustre : je caresse son manche, je cajole ses couilles, je titille son gland. Le bogoss frémit, il semble beaucoup apprécier.
Sans cesser de le branler, je me penche sur lui, je lembrasse, sur la bouche dabord ; puis, mes lèvres descendent le long de sa mâchoire, de son cou, de ses pecs, de ses abdos ; elles glissent le long du petit chemin de poils bruns qui amènent à son pubis. Je frissonne, il frissonne.
Je cesse alors de le branler, japproche mon visage de ses bourses, que je renifle longuement, méthodiquement, dans chaque moindre recoin ; je renifle sa queue tout aussi longuement, laissant le bout de mon nez traîner, effleurer, exciter : je remonte jusquà effleurer le frein, contact qui fait sursauter le bogoss, de surprise et de plaisir.
Voilà un long et délicieux voyage agrémenté dune multitude de petites, délicieuse odeurs de mâle qui a déjà pas mal donné de sa puissance sexuelle, mais toujours débordant de testostérone : un mâle dont le torse ondule désormais sous leffet dune respiration excitée.
Encouragé par ses réactions, jattaque illico un deuxième tour, en me servant de mes lèvres ce coup-ci. Jaccomplis le même voyage, tout en provoquant des frissons encore plus intenses : sa respiration haletante cède peu à peu la place à de petits gémissements, et à des mots dencouragements :
« Putain, Nico
tu me rends dingue
».
Je dois me faire violence pour ne pas céder à la tentation assommante de gober son gland gonflé à bloc et de provoquer au plus vite sa jouissance : la condition pour le faire jouir comme un malade, cest de le frustrer ; le pendant, cest de me frustrer avec lui.
« Suce-moi
» je lentends chuchoter, sur un ton assez ferme. Ça ne rigole plus.
« Pas encore
» je le cherche.
« Jai trop envie
».
« Moi aussi
».
« Tu vas craquer, de toute façon
» il me nargue.
« Cest toi qui vas craquer
».
« Jamais de la vie
» fait-il, la voix déformée par lexcitation.
« Si au prochain tour je mets la langue, tu vas craquer
».
« Tu vas te jeter dessus avant
».
« Chiche
».
Troisième round, cest au tour de ma langue de faire monter la pression chez le bobrun : elle semploie à lécher ses couilles, à chatouiller ses bourses ; elle remonte sa queue lentement, tantôt en lâchant des petits coups rapides, tantôt en traînant ; elle remonte jusquau frein, arrachant des frissons violents à ce petit Dieu à lanatomie parfaite.
La queue brûlante, le gland gonflé à bloc, le bogoss se plie pourtant à linterminable attente dun plaisir sans cesse annoncé et sans cesse repoussé. Je sais quil me fait confiance ; cependant, je sens que son impatience grandit de seconde en seconde. Ses inspirations et ses expirations sont longues, profondes, bruyantes ; le bogoss monte en pression, il est chaud, bouillant.
A lépoque de nos premières révisions, à ce stade des opérations, il maurait déjà fourré la queue dans la bouche et il serait en train de la défoncer avec des coups de reins sauvages.
Mais là, il se retient ; certes, il a un petit pari à gagner, mais il ny a pas que ça. En fait, depuis nos retrouvailles, Jérém me fait lamour tout en douceur, comme sil avait peur de me manquer de respect en jouant au mâle domi qui était son rôle dans notre relation davant notre clash. Jadore le Jérém attentionné, adorable ; mais je nai pas envie pour autant de laisser ce dernier effacer le jeune mâle bien sûr de lui, à la virilité insolente, le mec un brin arrogant, un tantinet macho ; et infiniment, indiciblement craquant.
Je continue de titiller son frein avec des petits coups de langue : Jérém vibre de toute part, il souffle comme un petit taureau.
Puis, à un moment, sans prévenir, ses abdos se contractent, son torse se relève ; et sa main vient se poser lourdement sur mon cou. Cest à ce moment-là que je sens que je vais gagner mon « pari » : le mouvement est lent, mais ferme, à la fois doux et sans appel ; Jérém moblige à gober son gland, puis, sa queue tout entière. Le bogoss a envie de se faire sucer, un point, cest tout.
« Ah, cest bon
» je lentends chuchoter, la voix éraillée par lexcitation, alors que son manche finit denvahir mon palais.
Sa queue porte un délicieux petit goût de sperme qui me rappelle à quel point il est « le mâle », et à quel point ce mâle est puissant, et fécond. Combien de fois a-t-il joui depuis ce matin ? Combien de fois ma-t-il rempli de son jus ? Je ne men souviens même plus. Je nage dans un bonheur sensuel indescriptible.
Oui, finalement, cest Jérém qui craque : et cest tellement bon de sentir sa queue entre mes lèvres, dans ma bouche, avant même de commencer à le sucer. Jadore me sentir envahi par son manche, par son envie de mec ; jadore humer les odeurs qui se dégagent de sa peau, de ses poils pubiens ; jadore me retrouver nez à nez avec son mur dabdos, avec ce petit chemin de poils qui part de son nombril et qui semble me rappeler, si besoin était, la marche à suivre.
« Allez
vas-y
suce
» fait-il, tout en imprimant à ma tête le mouvement quil attend delle.
Il naura pas fallu chercher longtemps pour que le petit mâle en rut sorte de sa réserve. Et cest un pur bonheur.
Alors je le suce longuement, lentement, tantôt en mattardant avec ma langue autour du gland, en le chatouillant par des touches légères, tantôt en le laissant glisser soudainement au fond de ma gorge et en le gardant bien au chaud, pendant de longs moments.
Jamène son excitation à des sommets délirants, lui faisant sans cesse entrevoir la ligne darrivée de son orgasme, mais sans jamais le laisser lapprocher ; je tiens sa jouissance en suspension entre mes mains, dans ma bouche, pendant très longtemps, je le rends dingue, à la fois de plaisir et de frustration ; tout en essayant dignorer, avec de plus en plus de mal par ailleurs, cette brûlante, sauvage, insoutenable envie, qui est la mienne, de le laisser déverser dans ma bouche les longs traits chauds que je connais si bien, son jus de ptit mec.
Le bogoss est moite de transpiration, vibrant de plaisir : jusquà quand vais-je pouvoir le tenir dans cet état dattente et de frustration ? La réponse vient du principal intéressé. Ainsi, sans prévenir, le bogoss se dégage se moi ; il descend du lit, il me lance :
« Viens me pomper
».
Jérém est debout à côté du lit, adossé au mur ; son corps musclé et sa queue tendue nattendent que moi, pour jouir. Un instant plus tard, je suis à genoux devant lui, en train de le pomper, ivre de la vision sublime de ce mâle qui me domine de toute sa taille, de toute sa puissance, de toute sa virilité, qui me regarde en train de lui offrir le plaisir quil exige ; ivre de sa bonne gueule de mec et de son regard brun qui crient au sexe, de son menton et de sa mâchoire recouverts de barbe brune ; ivre de ce torse tout en muscle et en jeunesse, ondulant au rythme de sa respiration excitée ; ivre de ce corps légèrement penché en avant, de sa chaînette de mec cherchant laplomb entre deux petites oscillations, de son grain de beauté toujours aussi adorable et sexy ; ivre de ses épaules et de son cou massif, de ses biceps rebondis, de ses tatouages sexy, de ses tétons à croquer, de cette profonde ligne médiane creusée dans le muscle saillant de ses pecs et de ses abdos de fou ; ivre de cette pilosité brune qui me fait craquer ; ivre de ce chemin de petits poils juste devant mon nez, ainsi que de ces redoutables plis de laine, les trois sassociant pour rabattre mon regard là où il a envie dêtre ; bref, je suis ivre de cette mâlitude débordante, effrontée même lorsquelle ne lest pas sciemment, insolente du simple fait dexister.
Vision du bas vers le haut ; du bas de ma position, à genoux, de mon admiration, mon adoration, ma soumission soumission volontaire, jouissive à la sexualité et au plaisir de mon mâle ; vers le haut de sa position debout, de son regard lubrique, de sa puissance physique, sexuelle, de son envie de jouir ; et, je le sais désormais, de me faire jouir avec lui.
Quest ce que cest beau et impressionnant, le corps masculin, lorsquon le regarde ainsi, du bas vers le haut ; et quest-ce quelle est excitante, étourdissante, la sexualité dun mec debout, lorsquon y goûte pendant quon est à genoux.
Je le suce lentement, repoussant encore et toujours sa jouissance. Puis, à un moment, le bogoss pousse une profonde expiration, sa main se lève, elle frôle ma nuque, mon cou, elle se retient ; je sens quil a envie de mattr la tête et me faite avaler sa queue dune seule traite, mais il se retient toujours ; de justesse, mais il se retient. Il est à deux doigts de craquer, je le sens. Ce nest quune question de secondes. Son excitation est à un tel niveau quil suffirait dune petite étincelle pour le faire démarrer au quart de tour.
La petite étincelle va être mon geste inouï, laffront de quitter sa queue pour aller titiller son frein du bout de ma langue ; un instant plus tard, ses deux mains saisissent ma tête, et sa queue senfonce entre mes lèvres avec lurgence dune excitation extrême. Le bogoss nattend pas une seconde de plus pour commencer à me pilonner la bouche sans répit, comme au bon vieux temps. Mon beau Jérém se lâche enfin : chassez le naturel, il revient au galop.
Au rythme de ses coups de reins, mon nez senfonce dans ses poils pubiens, mon front cogne contre son mur dabdos, ses petites odeurs de mâle remontent par mes narines et me mettent en orbite. Sa queue me défonce la bouche, mais pas au point de me faire mal, juste au point de me faire terriblement « mâle » : et ça, cest délicieux.
« Suce, vas-y, je sais que tu kiffes ça
tu kiffes ma queue
» fait-il, tout en menfonçant son manche bien profondément dans ma bouche.
Je retrouve le Jérém domi. Je suis débordé par sa puissance virile, mais heureux.
« Quest-ce que jaime te sucer
» jarrive à lui lancer, en sortant brièvement de mon apnée.
« Ah, putain, cest bon
tu suces comme un dieu
vas-y, montre-moi ce que tu sais faire
fais-moi monter le jus
» fait-il, tout en posant lourdement ses mains sur ma nuque et menfonçant à nouveau la queue jusquau bout de mon palais.
Je brûle denvie dexaucer son vux, dexécuter son ordre ; mais en même temps, je ne veux pas que ça sarrête aussi vite : je me dégage de la prise de ses mains et je quitte une nouvelle fois sa queue ; jatt ses hanches, je linvite à pivoter sur lui-même, à se mettre face au mur. Après une première petite résistance, le bogoss se laisse faire ; je saisis ses fesses bien fermes et jentreprends de lui faire une fellation de rondelle en bonne et due forme.
Je le sens encore monter en température et en pression, je le sens monter vers une zone rouge très dangereuse. Ce qui explique la raison pour laquelle, malgré son kiff pour ce genre de plaisir, quelques instant plus tard à peine, le bogoss se retourne brusquement, il me fourre une nouvelle fois queue dans la bouche et recommence à envoyer de bons coups de reins. Ses gestes ont quelque chose de virulent, la virulence de son envie de jouir, au plus vite. Une virulence que je retrouve également dans les mots quil ne tarde pas à lâcher, la voix cassée par une excitation à son plus haut niveau :
« Je vais jouir
et tu vas tout avaler
».
Je ressens alors un frisson qui manque de peu de me faire jouir sur le champ : car je reconnais instantanément les mêmes mots quil avait employés lors de notre première révision.
Jai sacrement envie de lui offrir ce quil demande ; mais en même temps, je lui ai promis un orgasme comme aucun autre ; ainsi, alors que le bobrun simagine jouir au plus vite dans ma bouche, je me déboite, et je recommence à titiller son gland sur le point de gicler.
Un instant plus tard, tout semballe ; ses mains mattnt par les aisselles, mobligent à me relever : le geste est rapide, brusque, animal ; la réaction en chaîne est amorcée, je ne peux plus larrêter, je perds le contrôle ; et cest avec le plus grand bonheur que je me laisse faire. Je me retrouve à plat ventre, sur le lit ; Jérém crache sur ma rondelle, et il senfonce en moi dune seule traite. Sa queue me pénètre, menvahit, me transperce.
« Oh, putain, quest-ce quil est bon ton cul ! » je lentends grommeler, fou dexcitation.
« Et ta queue, putain
quest-ce quelle est bonne ta queue ! ».
Le bogoss na besoin que de quelques coups de reins pour atteindre enfin cet orgasme tant attendu, pour gicler une fois de plus en moi. Et pour me faire gicler à mon tour, sans même me toucher. Ma jouissance me percute avec la violence dun coup de tonnerre, je perds pied, et jai limpression que mon cur a des ratés ; sa jouissance à lui, explose dans un cri retentissant, impressionnant, un cri à la fois de plaisir et de délivrance. Heureusement que nous sommes isolés et quil n'y a pas de voisin pour entendre le brame dun jeune mâle en train de kiffer sa race.
« Tas joui ? » il me demande dans la foulée.
« Je viens de jouir, en même temps que toi
tu te rends compte de leffet que tu me fais ? ».
Mon beau Jérém sabandonne sur moi de tout son poids ; il me serre fort contre lui, il pose de bisous sur mes épaules et mon cou ; il me fait sentir bien même en cet instant, après lamour, où le désir sexuel déchaîné disparaît brutalement et laisse la place à un besoin de tendresse tout aussi violent.
« Quest-ce que cétait bon
» je lentends chuchoter à mon oreille.
« Pareil pour moi
cétait trop trop bon
».
Ah, putain, quest-ce que ça fait du bien de me faire dominer par ce petit Dieu vivant, évoquant pour moi le mâle dans toute sa virilité, force et autorité ; quest-ce que cest bon de le voir se lâcher à fond pendant le sexe ; et quest-ce que cest bon après le sexe, tout aussi bon, si ce nest plus encore, de retrouver les câlins, la tendresse ; et de me blottir, et me sentir protégé, dans ses bras puissants.
Quest-ce que jaime ce nouveau Jérém, cet être mi ange et mi mâle, toujours capable, pour peu quon le cherche, de jouer son petit macho pendant le sexe ; mais capable aussi, après lamour, de laisser ressortir cet adorable petit mec qui a besoin de douceur tout autant que jen ai besoin.
« Quest-ce que jaime quand tu es comme ça
» jai envie de lui dire, jai envie quil sache.
« Comme ça, comment ? ».
« Quand tu es chaud bouillant pendant le sexe
».
« Tu kiffes ça, hein ? ».
« Grave ! Et aussi que tu tinquiètes de mon plaisir à moi
».
« Jaime bien te voir jouir
».
« Je suis trop bien, là
».
« Moi aussi, je suis trop bien avec toi
»
Dans la tanière, dans les bras de mon mâle brun, j'ai l'impression que rien ne peut m'arriver et que ce bonheur va durer à tout jamais. Et très vite, je m'endors.
Lorsque je me réveille, il fait nuit ; dans la cheminée, le feu brûle toujours, la flamme est belle et vigoureuse ; pendant que je dormais, Jérém a dû se lever et remettre du bois, et peut-être fumer une cigarette. Quest-ce que cest bon de me sentir en sécurité, de me sentir pris en charge, de ne devoir moccuper de rien, à part dêtre heureux avec le gars que jaime.
Mon bel étalon est endormi sur le dos, le haut de ses pecs et ses épaules dépassent de la couette, les bras pliés, les mains posées sur loreiller, de part et dautre de sa tête, les aisselles délicatement poilues bien exposées à ma vue et à mon désir.
Après de nombreux orgasmes en quelques heures, il se dégage de son corps, et notamment de ses aisselles, une odeur prégnante qui nest pas que le souvenir de sa transpiration, mais comme une odeur de sexe, une odeur de mâle. Lodeur des corps change après lamour ; lentente sensuelle est aussi une question dodeurs : et quest-ce quelle est bonne, cette entente, avec mon Jérém !
Je suis irrépressiblement attiré par son aisselle la plus proche de moi ; je ne peux résister à la tentation de plonger mon nez dedans, de menivrer de ces délicieuses odeurs de jeune mâle.
« Il faut que je me douche » fait Jérém, la voix pâteuse.
« Tu sens tellement bon
».
« Je pue
».
« Tu sens lamour
et le plaisir
».
Un instant plus tard, nos torses se frôlent, nos sexes aussi ; jagace ses tétons, sa main saisit nos deux queues en une seule prise et commence à les branler ; la sensation de frottement de nos gland lun contre lautre est magique.
Une nouvelle fois, nous faisons lamour ; une nouvelle fois, il me remplit de sa semence ; et une nouvelle fois, il me prend dans ses bras musclés, devant le feu de la cheminée.
« Quest-ce que jaime, te faire lamour
» il lâche tout bas.
« Si tu savais comment jaime, moi, quand tu me fais lamour
».
« Vraiment, je nai jamais autant pris mon pied quavec toi
».
« Jadore tentendre dire ça
».
« Cest quavec toi
avec toi
je suis en phase avec mes envies
».
« Tu me rends dingue, Jérém
».
« Toi aussi, Nico
».
Le bobrun me serre un peu plus fort dans ses bras, il couvre mon cou de bisous ; je me blottis un peu plus dans ses bras, je serre sa main, je la presse contre mon cur : elle est douce et chaude ; je plaque ma main dessus, comme pour la retenir.
« Je me suis toujours demandé ce que tu ressens quand je te fais lamour
» je lentends lâcher, après un petit moment de silence et de tendresse.
« Et moi je me suis toujours demandé ce que tu ressens quand tu me fais lamour
».
« Cest moi qui ai demandé en premier
» il me taquine.
« Cest vrai, tu veux savoir ? ».
« Oui
carrément
».
« Rien que le fait de te sentir venir en moi, et de tavoir en moi me procure beaucoup de plaisir
après, quand tu commences à me faire lamour, jadore sentir tes coups de reins
sentir ta queue aller et venir en moi me rend dingue
jadore sentir que tu te fais plaisir avec mon corps
ça aussi, cest vraiment le pied
jaime sentir que, pendant le sexe, tu es le mec
Et toi
tu ressens quoi quand tu me prends ? ».
« Ce que jaime le plus, cest sentir que tas très envie de moi
».
« Ça se voit à ce point ? ».
« Oh, oui
cest comme si ton corps tout entier irradiait cette envie
jaime sentir que tu es impatient que je te prenne
jaime te voir frissonner quand je pose mon gland sur ton entrée, tentendre souffler quand je force, sentir tes muscles souvrir, et voir ton corps se relâcher quand je viens en toi
».
« Et quand tu es dedans ? ».
« Jaime sentir ma queue enserrée par ton trou
jaime ressentir le contraste entre mon envie de te remplir et ton envie dêtre rempli
jaime la sensation de me sentir le « mec » dans lacte
et voir le plaisir que ma queue te procure
».
« Et moi, jaime te montrer que mon corps noppose aucune résistance, quil test complètement offert
jaime te montrer le plaisir que je prends grâce à ta queue, à ta virilité
jaime satisfaire tes envies de mec, moffrir à toi sans conditions
jaime me montrer soumis à ta puissance virile
jadore sentir ton envie de me remplir, ça me fait immédiatement sentir à toi, complètement à toi
jaime quand tu es en moi, bien excité, bien chaud, bien lancé vers ton orgasme : dans ces moments-là, tout mon désir sexuel et mon plaisir circulent entre mes fesses, mon trou, mes tétons
En fait, le plaisir de passif, cest un plaisir autant physique que mental
quand tu me prends, je jouis autant dans le ventre que dans ma tête
et joublie carrément que jai une queue moi aussi
il y a eu des fois, comme tout à lheure, où tu mas tellement bien secoué que jai joui sans même me toucher
et même des fois où jai pris un plaisir fou, sans même avoir besoin de jouir
»
« Mais tu aimes quand même jouir
comme un mec
je veux dire
».
« Oui, parfois, oui
quand tu me branles, ou quand tu me suces
mais quand tu me prends, mon plaisir est ailleurs
quand tu es en moi, je suis dans un autre monde
je suis tellement bien, je voudrais que ça ne sarrête jamais
cest paradoxal
quand tu es en moi, je suis à la fois impatient de te sentir jouir, et inquiet que ça arrive, que tes coups de reins sarrêtent, que tu sortes de moi
déjà, quand tu te retires de moi juste pour changer de position, cest insupportable
mais alors, quand tu jouis en moi, lidée que tu sortes de moi est carrément insoutenable
je voudrais que tu ne sortes jamais de moi
».
« Je kiffe savoir que nos corps et nos plaisirs sont si complémentaires
».
« Moi aussi
si tu savais
»
« Jaime tentendre gémir de plaisir, te voir te cambrer sous mes coups de reins
jaime sentir tes bras, tes mains qui s'enroulent autour de mes cuisses, de mes biceps, qui serrent mes pecs comme pour m'empêcher de ressortir
j'aime voir tes yeux qui s'ouvrent, inquiets quand je sors de toi
et lorsque je reviens, te voir sourire de plaisir, laisser échapper un gémissement
Et ça te fait quoi comme sensation quand je gicle en toi ? ».
« Quand tu jouis, et que je reçois ton jus en moi, cest pour moi le plus intense de tous les plaisirs
jai limpression dêtre fécondé par mon mâle
».
« Et moi, jaime sentir quun peu de moi vient en toi
».
Puis, après une petite pause, le bogoss me questionne :
« Pourquoi tas autant envie de me faire jouir ? ».
« Parce que tes un putain de bogoss, parce que t'as un corps de malade, parce que tas une queue denfer
et aussi, parce que tes tellement viril dans tes attitudes, pendant que tu prends ton pied
et ça me fait un effet de dingue
tu as lart et la manière de me faire sentir à toi rien quavec un regard
alors quand tu me touches
ou quand je te touche
je ne réponds plus de mes actions
jai vraiment besoin de me sentir possédé et rempli par toi
tes vraiment un Dieu au pieu
».
« Si jétais moins bon au pieu, tu ne me kifferais peut-être pas autant
» il se marre.
« Tu sais
ton corps et ta queue me rendent dingue
mais avant ça, ce qui me rend dingue chez toi, cest ce que tu es
un gars adorable
jai toujours pensé que derrière le petit frimeur macho de façade se cachait ce gars
ce gars cest toi, le « toi » le plus vrai
ce gars, cest le gars le plus spécial qui soit, à mes yeux
».
Nous nous faisons des bisous ; puis, Jérém se lève une nouvelle fois pour rajouter du bois dans la cheminée ; et il en profite pour sallumer une cigarette et pour la fumer à côté du feu.
« Est-ce que jai été le premier mec avec qui tas couché ? » je ne peux me retenir plus longtemps de lui poser la question qui me brûle les lèvres. Le moment me paraît propice, Jérém me semble prêt aux échanges les plus intimes.
Les volutes de fumée senchaînent avec une lenteur insupportable, et la réponse de Jérém tarde à venir : ce qui est déjà en soi une réponse à ma question, celle que je redoutais.
« Tu veux vraiment parler de ça ? » il finit par lâcher, en se tournant de trois quart par rapport à moi, et en me caressant avec son regard brun.
« Jai envie de savoir, Jérém
je ne veux plus quil ait de non-dits
je ne veux plus de mauvaises surprises
jai besoin de te connaître
tu es trop important pour moi
».
La suite, sur jerem-nico.com.
Jespère que ce nouvel épisode vous a plu. Voici quelques news de Jérém&Nico.
1/ Tips et visionnage de clip musicaux
Je tiens à remercier les tipeurs et autres mécènes qui, ponctuellement ou mensuellement, maident depuis bientôt 3 ans à mener cette belle aventure ; je tiens à remercier également les lecteurs qui ont pris une minute de leur temps pour regarder des vidéos musicales sur tipeee.com/jerem-nico-s1 : chaque visionnage me permet de gagner 3 centimes deuro, sans que cela ne vous coûte rien, si ce nest un peu de temps ; en un mois, environ 400 vues ont été cumulées, pour un total collecté de 12 euros.
Cest un bon début.
Dautres vidéos sont disponibles, nhésitez pas à les ouvrir et à laisser tourner jusquà une minute, lorsque le visionnage est validé et les centimes crédités ; nhésitez pas à revenir regarder ces vidéos.
2/ Livre Jérém&Nico vol 1.
Le travail de révision a été plus exigeant que prévu, dautant plus que je développe la saison 2 en parallèle avec le livre.
Le livre de 500 pages est terminé, il est actuellement en phase de relecture chez mon correcteur et commentateur en chef, jai parlé de FanB, que je remercie de tout cur.
La date de sortie du livre physique est repoussée au 15 juin 2019, dernier délai.
Vous pouvez dès maintenant précommander votre copie livre ou numérique sur www.tipeee.com/jerem-nico-s1.
Merci à vous tous.
Fabien
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